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LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 9 le chienLE CHEPTEL DE MADAME chapitre 9 le chienUne certaine routine s’était installée à la propriété.Hubert était chargé de toutes les corvées dans la maison et dans le parc toujours sous la surveillance de Marion. Le reste du temps il était enchaîné à la cave, parfois attaché par le collier relié par une chaîne à un anneau bas ce qui lui permettait de passer la nuit allongé, parfois selon le bon plaisir de Marion avec des fers aux poignets reliés par une chaîne accrochée à un anneau haut sur le mur, il passait alors sa nuit debout les bras tirés vers le haut.Pierre avait une place plus privilégiée s’occupant de tout ce qui était cuisine et passant la plupart de ses soirées aux pieds de ses Maîtresses à prendre soin de leurs pieds avant de regagner sa chambre jusqu’au matin pour la préparation du petit déjeuner. Madame lui avait expliqué que pour lui éviter tout tentation, il était mieux qu’il porte une cage de chasteté. Il était donc en cage de façon permanente. Une fois par semaine on enlevait la cage et il était autorisé à se branler et éjaculer sur les bottes ou les escarpins de Madame ou de Marion qu’il nettoyait ensuite soigneusement avec la langue. Pour varier un peu c’était parfois Marion qui le branlait à la main ou entre ses pieds et il léchait ensuite cette main ou ces pieds.Pierre était autorisé à préparer lui même ses repas et les manger à sa convenance, Il avait accès aux toilettes de la maison.Par contre Hubert devait se plier à la cérémonie du bol où il récupérait les restes sous la table avant de le présenter à genoux le soir à ses Maîtresses. Le rite voulait qu’il prononce une phrase codifiée : Maîtresse, auriez vous la bonté d’arroser de votre précieux nectar ce repas que vous m’avez gracieusement octroyé devant chacune des Maîtresses en tendant son bol. Selon son humeur – et son envie – celle-ci urinait alors dans le bol et Hubert répétait la cérémonie avec l’autre maîtresse. Des crachats s’ajoutaient parfois au mélange qu’Hubert devait ensuite manger les mains dans le dos en se servant uniquement de sa bouche. Son repas terminé, il remerciait les Maîtresses et lavait son bol avant de le ranger. Il était alors conduit à la cave pour la nuit.Pour ses besoins cela se passait dehors sous la surveillance de Marion après que sa demande eut été acceptée, Marion le nettoyait ensuite au jet. Ses demandes étaient faites selon un rituel fixé, il devait être akdeniz escort à genoux devant Marion et dire Puis-je parler, Maîtresse ? Quand l’autorisation lui était donnée – ou pas – il faisait sa demande Maîtresse auriez vous la bonté de me permettre de me soulager ? Margot passait parfois en visite avec ‘Sophie’ toujours dans une tenue extravagante de petite fille, de pute, ou de sissy selon les humeurs de Margot. A cette occasion Pierre avait les yeux brillants et saluait Margot avec toute la dévotion dont il était capable, ‘Sophie’ jaloux de l’attention que lui portait Margot lui jetait alors un regard noir.Hubert voyait par contre toujours arriver Margot avec crainte au souvenir de ce qu’elle lui avait fait subir et prenait une grande attention à ne pas lui déplaire.Une cérémonie redoutée à laquelle participait parfois Margot avait lieu une fois par semaine : Les Maîtresses vêtues de cuir et chaussées de cuissardes étaient debout au milieu du salon. Les deux esclaves permanents et ceux de passage devaient, après leur avoir rendu hommage en baisant leurs cuissardes, se mettre en rang à genoux sur une règle, poser les mains à plat devant eux et réciter par cœur les ‘devoirs de l’esclave’. Durant toute la récitation, les Maîtresse écrasaient les mains des esclaves de leurs semelles ou de leurs talons. Il était rigoureusement interdit aux esclaves de bouger même sous la douleur et tout mouvement, toute erreur ou hésitation dans la récitation donnait immédiatement lieu à une punition à la cravache. Les esclaves permanents connaissant bien les ‘devoirs de l’esclave’ étaient avantagés et s’en sortaient bien, ceux de passage par contre finissaient la soirée le dos zébré d’une multitude de traces rouges mais tous portaient les traces du piétinement sur leurs mains !Les annonces passées sur les sites spécialisées avaient porté leurs fruits. Claire et Marion avaient soigneusement étudié chacune d’elle. Certaines avaient été rejetées d’emblée ne correspondant pas à la recherche des deux femmes. D’autres avaient fait l’objet d’une correspondance par mail puis par téléphone avec le candidat afin de bien préciser ce qu’on attendait de lui, quelles étaient ses limites et ses disponibilités. Les candidats à un séjour permanents étaient privilégiés toutefois un d’eux avait vu sa requête acceptée : il avait élaboré un scénario où il était enfermé nu dans un cachot une semaine, fouetté tous mezitli escort les jours nourri de boîtes pour chien et abreuvé d’urine.Sa requête avait été acceptée comme test et il était donc arrivé au parc un lundi matin. Il régla les frais de son séjour comme convenu et fut immédiatement conduit par Marion devant Madame. Il s’était mis nu, à genoux, tête baissée devant elle et Madame lui avait expliqué les conditions de sa détention et bien précisé qu’il n’était pas question de le libérer avant 8 jours.Marion l’avait alors conduit à la cave qu’il ne quitterait plus de la semaine, lui avait mis les fers aux pieds et aux poignets et l’avait suspendu à une chaîne pendant du plafond. Il reçut sa première correction au fouet sur les fesses et les cuisses et fut laissé là jusqu’au soir. Dépendu et mis à genoux devant Madame et Marion, il reçut une gamelle de nourriture pour chien qu’elles arrosèrent d’urine devant lui, Marion lui écrasa le visage dans la gamelle sous sa semelle et ne relâcha la pression que lorsqu’il eut tout avalé. Il remercia abondamment les deux femmes et fut enchaîné par les pieds contre le mur. La semaine se déroula de la même façon avec quelques variantes dans la correction donnée au fouet ou à la cravache par Madame, par Marion ou par les deux. Il était enchaîné couché au sol ou pendu par les poignets à un crochet ou écartelé entre 4 anneaux au mur selon les fantaisies de Marion. Il faisait ses besoins dans un seau devant Marion et Hubert allait le vider dans les toilettes. A la fin des 8 jours, Marion le libéra de ses entraves et le conduisit d’abord à la salle de bains pour une douche plus que nécessaire. Il passa ensuite au salon où Madame et Marion l’attendaient. Il remercia d’abord avec enthousiasme les deux Maîtresses d’avoir donné vie à son fantasme puis elle l’interrogèrent longuement sur ce qu’il avait pensé de son séjour, sur ce qui pourrait être amélioré. En partant il demanda si un autre séjour serait possible, Madame lui répondit qu’elle verrait et le recontacterai. En l’écoutant, elles avaient été un peu surprises d’entendre que le traitement infligé lui avait paru très supportable et qu’un peu de cruauté supplémentaire aurait pu être appliqué. Elles notèrent la remarque en se disant qu’un maso pouvait repousser très loin ses limites et se promirent d’en tenir compte à l’avenir. Madame, toujours à son idée de poneys humains avait fait établir les yenişehir escort plans d’une rénovation des écuries délabrées situées un peu plus loin dans le parc. Les travaux avaient été effectués par un entreprise locale et Madame disposait maintenant d’écuries flambants neuves avec 5 boxes et tout ce qui allait avec.Elle avait demandé à Margot si elle connaissait une écuyère ou une lad à tendances dominatrice capable de gérer son écurie de poneys humains. Celle-ci ne voyant personne dans ses connaissances on décida de faire appel sans grand espoir par annonce sur les sites SM Propriétaire d’un domaine avec écuries je cherche une femme écuyère ou lad qui serait intéressée par la gestion et le dressage de poneys humains Madameclaire@*****.com .A la surprise des trois femmes, une candidate se manifesta dans les jours qui suivirent. Madame l’invita à venir au domaine pour en discuter. Josyanne arriva deux jours plus tard. Une fois installée dans une des chambres du premier , elle visita les écuries rénovées, on lui présenta Hubert et Pierre qui lui rendirent l’hommage habituel.La discussion s’engagea au salon sur les possibilités de monter l’écurie rêvée par Claire, ce qui s’avéra tout à fait réalisable. Josyanne était une grande jeune femme athlétique d’origine antillaise avec de longs cheveux auburn et des yeux noirs venue en métropole travailler dans un haras de vrais chevaux et qui avait été initiée au poney humain par une des cavalières qui avait à la fois une monture à 4 pattes et une à 2 pattes ! Elle avait déjà eu personnellement des soumis dressés comme poneys. Elle se montra très intéressée par les possibilités offertes par le domaine : écuries, parc avec possibilité de créer un parcours et une carrière, grande maison pouvant accueillir des cavalières (elle en connaissait un certain nombre qui seraient ravies de l’aubaine). Josyanne fit une première liste du matériel nécessaire et annonça qu’elle pourrait venir une dizaine de jours plus tard s’installer au domaine.Josyanne n’ayant pas eu la possibilité de le faire depuis trop longtemps à son goût, demanda la possibilité de caresser les côtes d’Hubert avec une cravache ce qui lui fut volontiers accordé et Marion et Claire en spectatrices purent noter son habileté avec une cravache, Hubert apprécia beaucoup moins mais remercia quand même celle qu’il appellerait dorénavant Maîtresse Josyanne. Le soir, il eut droit à une triple ration de sa boisson favorite dans son bol et Pierre eut trois paires de pieds à chouchouter. Josyanne repartit le lendemain non sans avoir à nouveau caressé les côtes d’Hubert à la cravache … histoire de ne pas perdre la main précisa-t-elle.A suivre … Le cheptel chapitre 10 Josyanne et Enzo
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