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Première Partie de Sexe en Forêt. 1/3Publié sur le Net par : Bigears, sous le titre : First Time Sex in the Forest. Traduction, Adaptation : Opap661- La rencontre.Je devais avoir 7 ou 8 ans quand j’ai compris la jouissance qu’il y avait à être nu devant les autres. Mes parents étaient très pratiquants, et tout ce qui avait un rapport avec le pénis ou l’anus était sale. C’était un péché très grave d’être vu intentionnellement ou accidentellement par d’autres. Aussi, quand un de mes copains a suggéré que nous regardions nos quéquettes, j’ai été à la fois choqué et excité. Nous avons fabriqué une petite tente avec une couverture et le séchoir à linge, et nous avons tous rampé à l’intérieur. J’ai été le premier à être volontaire. Il n’y avait pas beaucoup de place sous la tente. Les deux filles et l’autre garçon m’ont aidé à retirer mon tee-shirt. J’ai hésité un peu à montrer mon “Mickey Mouse” comme je l’appelais, mais une des filles a baissé mon short d’un coup sec, dévoilant ma petite érection. Je ne comprenais pas les sensations énormes que cela me procurait. C’était fantastique, mais l’un de nous a dit que des adultes arrivaient. Je me suis rapidement rhabillé dans la panique, faisant comme si rien ne s’était passé. Nous avons recommencé d’autres fois, et j’étais toujours le premier à être volontaire.Quelques années plus tard, par une chaude nuit d’été, je n’arrivais pas à m’endormir. J’ai eu l’envie irrésistible de me mettre nu dehors, au frais. J’ai glissé hors de mon lit, habillé en pyjama, et me suis faufilé dans les escaliers et la porte de derrière. Notre maison était près de l’endroit où nous avions fait nos petits déshabillages. Je me suis avancé prudemment sur le chemin. J’ai traversé la haie près d’une petite colline. J’ai retiré mon pyjama, et j’ai savouré le moment ou mon pantalon a glissé à mes chevilles et où je l’ai enjambé. Sentir l’air frais sur mon corps était quelque chose de merveilleux et j’ai eu une érection qui a grossi rapidement. J’étais si naïf à cette époque que je ne savais pas comment on se masturbait. J’appréciais simplement de me balader dans la fraicheur de la nuit avec ma queue qui se balançait devant moi. Je savais que, derrière la colline, on ne pouvais pas me voir. Mais bientôt, j’ai eu envie d’aller en haut de la butte, où je pourrais être vu depuis les maisons voisines. À cette heure tardive, il était peu probable que quelqu’un soit encore debout à regarder, mais la seule pensée que quelqu’un pouvait me surprendre augmentait mon excitation. Je me suis promené, nu, pendant plus d’une heure, puis, à regret, je suis rentré et me suis recouché. Je ne savais pas pourquoi mes testicules me faisaient mal mais, cette nuit là, j’ai eu un rêve humide qui a souillé mon pyjama.J’allais à l’école catholique pour garçons. J’étais très timide avec les filles et on ne parlait pas de sexe. De temps en temps, quelques garçons plus âgés montraient des photos dans des magazines, avec des filles aux seins nus, et cette simple vision déclenchait une érection instantanée, mais ça n’allait pas plus loin. J’ai pu acheter des exemplaires de Playboy et Penthouse et, dans l’intimité de ma chambre, je regardais les photos et je pouvais avoir une érection pendant des heures. Il y avait toujours cette espèce de douleur dans mon bas ventre, et un peu de liquide s’échappait de mon pénis, mais je ne savais pas du tout quoi faire. J’avais entendu le mot masturbation. Dans le dictionnaire j’ai lu la définition : ‘’Excitation de ses organes génitaux’’. Une autre fois, vers 16 ans, j’ai lu une autre définition : ‘’ Agiter manuellement le pénis jusqu’à l’orgasme.’’ Je ne savais toujours pas trop de quoi il s’agissait, mais j’étais bien excité en feuilletant mes Magazines. Je m’assurais que la porte était fermée et je baissais mon pantalon et mon caleçon. Les attouchements sur mon pénis étaient très agréables, mais je ne savais pas comment faire. J’ai pris ma queue entre mes deux paumes et j’ai commencé à frotter, un peu comme on avait appris chez les Scouts pour allumer du feu. Mon pénis devenait rouge vif. Je sentais que le plaisir montait, mais ça ne se concrétisait pas. Puis, j’ai constaté que le plaisir était plus important si je m’attardais sur le bout gonflé de illegal bahis mon gland. Je frottais et frottais, de plus en plus vite. Une grosse bouffée de plaisir a envahi mon bas ventre et, dans un grand soupir d’extase, le sperme jaillit. Il y en avait partout, sur mes mains, mes cuisses et par terre. C’était fait ! Ma première branlette ! Rapidement j’ai expérimenté d’autres techniques plus douces et je me masturbais 2 ou 3 fois par jour en regardant mes magazines. Une fois, ma mère m’a presque surpris, parce que j’avais oublié de verrouiller la porte, mais si elle s’est douté de quelque chose, elle n’a rien dit.J’ai rencontré ma femme au travail. C’était la première fille que j’avais eu le courage d’inviter. C’était également la première que j’ai embrassé et, après notre mariage, la première femme avec laquelle j’ai eu des relations sexuelles. Nous étions tous les deux timides et nous n’avons jamais trop expérimentés les différentes positions, etc. J’aimais bien faire l’amour avec elle, mais, les années passant, c’est devenu un peu routinier. Par contre, j’adorais toujours me dénuder en plein air. Les chaudes nuits d’été, j’attendais que mon épouse s’endorme, puis je sortais du lit et j’allais derrière la maison, dans le jardin. Je me déshabillais et me promenais en me masturbant. La pensée d’être surpris par des voisins ajoutait un peu de piment. Quelquefois, je descendais en bas, presque sur la route et je me masturbais. Une fois, j’ai dû me cacher précipitamment derrière un arbuste, quand une voiture a tourné le coin et m’a presque pris dans ses phares. J’ai eu un moment de panique, mais aussi un orgasme formidable.Chaque été, je cherchais des endroits où je pourrais me déshabiller et me masturber. L’endroit idéal, c’était dans un bois, en dehors des sentiers fréquentés. Je cherchais une clairière isolée, bien protégée tout autour par des arbres ou des arbustes, afin de ne pas être malencontreusement surpris. Cependant, il fallait laisser une petite chance que quelqu’un me surprenne en train de me masturber, afin d’ajouter un frisson supplémentaire. Une fois que j’avais trouvé l’endroit convenable, je vérifiais bien que je n’entendais aucun bruit de voix. Il m’arrivait de rester plus d’un quart d’heure à regarder et à écouter attentivement, avant de me sentir suffisamment en sécurité pour commencer. J’enlevais soigneusement mes chaussures et mes chaussettes. J’accrochais mon tee-shirt à une branche, baissais de mon pantalon, puis, après un dernier coup d’œil de sécurité, je quittais mon slip, profitant de la caresse du vent sur mon pénis et mes fesses nues. L’une des règles de mon jeu, c’était de laisser là mes vêtements et de me déplacer dans la clairière choisie. M’éloigner de mes vêtements, me procurait une intense excitation due au risque, certes très faible, d’être vu, tout nu et sans défense. J’explique tout cela pour que vous puissiez apprécier pleinement ce que j’ai ressenti lors des événements que je vais vous raconter maintenant.Ça se passait en Juin l’année dernière. Ma femme et moi étions en vacances en Allemagne, dans la Forêt-Noire. C’était un bel hôtel, avec piscine, au pied d’un bois qui grimpait dans la montagne. Cet après-midi j’avais laissé ma femme prendre un bain de soleil près de la piscine. Elle bavardait avec deux autres clients que nous avions rencontré la veille, au dîner. Quand à moi, je cherchais un endroit pour me branler. J’ai suivi l’un des sentiers qui s’enfonçait dans les bois derrière l’Hôtel. Plus je m’éloignais, plus le nombre de promeneurs diminuait, et j’ai commencé à chercher le lieu idéal. J’ai quitté le chemin et me suis aventuré plus profondément dans le bois. Les bruits du village à coté de l’hôtel s’estompèrent. Il n’y avait plus que le silence de la forêt, parfois seulement interrompu par un cri d’oiseau. Après avoir marché pendant une dizaine de minutes, j’ai pensé avoir trouvé l’endroit idéal. C’était une petite clairière entourée de grands arbres. La lumière arrivait cependant jusqu’au sol recouvert d’herbe tendre. Il y avait une rangée d’arbustes à l’autre bout et une pile de bois, en diagonale, au bord de la clairière. J’ai attentivement regardé tout autour, mais il n’y avait aucun signe de vie. J’entendais illegal bahis siteleri parfois des gens parler sur le sentier que j’avais quitté, mais ils étaient assez loin en dessous de moi. S’ils quittaient le chemin et s’avançaient dans ma direction, je les entendrais venir de loin. Il n’y avait aucun danger. Je sentais le picotement familier dans mon bas ventre. Il était temps de commencer. J’ai fait vingt ou trente mètres dans le bois et j’ai commencé à me préparer. J’ai retiré mes chaussures et mes chaussettes et j’ai soigneusement placé mes chaussettes dans mes chaussures. J’ai déboutonné ma chemise, l’ai enlevé et l’a accroché sur une branche basse. Ensuite, j’ai fait glisser mon pantalon et l’ai soigneusement plié à côté de mes chaussures. Mon pénis essayait de s’échapper de mon slip, mais je n’étais pas encore tout à fait prêt. Il fallait que je sois sûr que personne ne se trouvait à proximité de la clairière. Après un dernier contrôle, je suis retourné près de mes vêtements et, enfin, j’ai retiré mon slip et l’ai posé sur le pantalon. Comme d’habitude, la sensation de l’air tiède caressant mon corps nu était merveilleuse. Je me suis éloigné de mes affaires et me suis avancé dans la clairière. J’ai commencé à me caresser la poitrine et les fesses, puis, tout doucement, mon pénis et mes couilles. En peu de temps, j’avais une grosse érection. J’ai marché sur l’herbe en caressant ma queue palpitante, profitant de ces exquises sensations. Et soudain, la tuile ! Je regardais de l’autre coté de la clairière, vers la rangée d’arbustes, et mon cœur a sauté dans ma poitrine. Debout derrière les arbres, un homme regardait dans ma direction. Je restai pétrifié. Je tenais toujours ma queue, mais mon érection diminuait à vue d’œil. J’étais trop loin pour me précipiter sur mes vêtements et, de toute façon, l’étranger était sur ma route. Cet instant m’a paru durer des siècles, mais, en fait, il ne s’est passé que quelques secondes. L’étranger a rompu le silence en déclarant : « Je suis désolé de vous avoir dérangé, mais je vous observe depuis quelques minutes. Je constate que vous vous faites du bien et ne je ne voulais surtout pas vous interrompre. Est-ce que ça vous gêne si je reste et que je regarde ? » Ces derniers mois, je m’étais inscrit sur plusieurs sites web et j’étais de plus en plus excité par la vue d’hommes nus s’exhibant, se masturbant et surtout, baisant. J’avais même posté quelques photos et vidéos de mes branlettes, et j’avais été flatté des commentaires reçus. Avec ma webcam, je me masturbais parfois devant des inconnus. Mais dans l’immédiat, je n’étais pas derrière mon écran. Il y avait là un vrai mec, bien vivant, qui me demandait s’il pouvait me regarder me masturber devant lui ! L’étranger sortit de derrière le bosquet et je pus le détailler. Il était mince, d’âge moyen, avec une tenue de coureur à pied. Il portait un petit sac à dos. Il me sourit et mon anxiété se dissipa : « Si vous ne voulez pas que je regarde, pas de problèmes, je m’en vais. » Il avait un léger accent de la côte Est. Quand j’ai baissé les yeux vers son short, j’ai clairement vu une belle bosse. La pensée que mon corps mince pouvait l’exciter a rapidement redonné de la vigueur à mon sexe. Ses yeux étaient braqués sur ma queue, et il sourit de nouveau :« On dirait qu’elle est contente de me voir. Je peux rester ? » j’avais la bouche trop sèche pour répondre et j’ai juste fait un signe de tête. Il continua :« Parfait. Je vous laisse vous tripoter devant moi ! » Me sentant un peu plus sûr de moi, j’ai obéi et j’ai commencé à caresser ma bite de plus en plus raide. Ses yeux restaient scotchés sur ma main qui allait et venait sur ma tige. Je sentais monter l’excitation. La pensée de me savoir nu et de me masturber devant un étranger était enivrante. La main de l’étranger descendait insensiblement vers son entrejambe et je le vis toucher son érection. Tout d’un coup, il me dit : « Arrêtez ! Je suis désolé, mais je ne peux pas simplement rester là à vous regarder. » Rapidement, il fit passer son maillot par-dessus la tête, puis enleva son short. Fasciné, je regardais son corps. Il était un peu plus petit que moi, mince et bien musclé. Il était bronzé juste jusqu’à la taille canlı bahis siteleri et les jambes jusqu’à mi-cuisses. Pendant qu’ il se retournait pour poser son short et son maillot, j’ai vu ses fesses bien musclées, toutes blanches, contrastant avec le reste de son corps. Puis il se tourna vers moi et approcha, foulant rapidement l’herbe de la clairière. Son torse était à peine poilu, et de toute évidence, lui aussi taillait ses poils pubiens comme moi. Mais ce qui était incroyable, c’était sa queue. Elle était plus épaisse et plus longue que la mienne, mais le plus impressionnant, c’était l’angle qu’elle avait ! Ma queue ne se dressait plus comme ça depuis des années !Je devais avoir un air inquiet quand il s’approcha de moi. J’ai lâché mon pénis. Il me rassura :« N’ayez pas peur, mais je ne peux pas m’en empêcher » Il caressait sa queue de la main gauche. Quand il fut tout près de moi, il tendit la main. Doucement, il prit mon pénis dans la main droite et commença à me caresser. Je sentais mes jambes flageoler, mais le plaisir était fantastique. Il saisit ma main droite et la posa sur son pénis. C’était la première fois que je touchais une autre bite que la mienne. Elle était large, chaud, très raide et je la sentais palpiter, comme la mienne. Ses doigts chatouillant mon prépuce qui ne découvrait jamais totalement le gland, il m’assura :« J’ai toujours eu un faible pour les queues non circoncises »Je commençais à avoir du mal à respirer. Mon cœur battait la chamade et mes jambes étaient en coton. Sa main caressait mon pénis qui n’avait pas été aussi raide depuis longtemps. Son autre main, posée sur la mienne, guidait mes mouvements et la vitesse de mes va et vient. Il gémit :« Mmm… que c’est bon ! »J’avais la gorge nouée. Je sentais sa queue gonfler encore un peu plus, et une petite goutte de liquide perlait au bout de son gland. Lui était circoncis, et j’étais fasciné par son pénis que mes doigts branlaient, depuis le bas de la tige jusqu’au gland gonflé et rouge foncé. En même temps, ses doigts à lui m’agaçaient de plus en plus. Du liquide coulait de mon gland, et jamais auparavant, je n’avais autant été excité. De temps en temps, il lâchait ma queue et triturait mes couilles et mes bourses, puis reprenait mon pénis. Il devait sentir que je ne tiendrais plus longtemps, et il accéléra ses mouvements. Il tirait également mon prépuce en arrière pour dévoiler le gland en entier. Il était d’un violet vif et tout humide de liquide pré–éjaculatoire. À mon tour, je lui donnais du plaisir en travaillant sa queue. Nous étions tous les deux haletants. Quand j’ai regardé son visage, il avait les yeux dans le vague, mais il souriait de contentement. Les battements de mon cœur cognaient dans mes oreilles et je savais que c’était le moment. En soupirant bruyamment, j’ai craché deux ou trois jets de sperme. Quand j’ai joui, ça l’a fait rire, et il m’a dit :« Ne vous arrêtez pas maintenant, mon ami. » J’ai continué à masturber sa queue raide, et, dans un soupir, il a également éjaculé trois jets de sperme.Pendant quelques instants, nous sommes restés l’un en face de l’autre. Nos queues mollissaient, dégoulinantes de sperme. Je ne savais pas trop quoi dire ni quoi faire. Il se contenta de me sourire et de dire : « Un instant. »Il se dirigea vers son sac à dos et revint avec deux ou trois mouchoirs. En le voyant marcher si souplement, je pensais que ce corps nu était ce que j’avais vu de plus beau depuis longtemps. « Laissez-moi faire », dit-il en essuyant délicatement mon pénis, puis le sien. Je ne savais toujours pas trop quoi faire, ni s’il voulait autre chose ? Mais il me rassura :« C’était une excellente façon de terminer mon jogging dans les bois. Merci de m’avoir permis de partager ce moment. Peut-être qu’on pourrait se retrouver demain ? ». Je balbutiai :« J’ai hâte d’y être ! » Il ajouta :« Parfait. Même endroit, même heure ? » Je répondis :« Fantastique ! »Il sourit, traversa la clairière, s’habilla rapidement et partit en courant. J’avais l’impression d’avoir rêvé, mais les chatouillis dans mon bas ventre me prouvaient le contraire. Je ne savais plus où j’en étais… Où avais-je laissé mes vêtements ? J’ai fini par les retrouver, me suis rhabillé, puis je suis revenu tranquillement à l’hôtel, des papillons pleins les yeux. Ma femme m’attendait :« Ta promenade était agréable ? Tu sembles un peu essoufflé ! »J’ai souri, un peu gêné, et je suis allé à la salle de bain pour me rafraichir et me préparer pour le dîner.A suivre…
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