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Manon passe son permis de conduireLa séance avait plutôt bien débuté, jusqu’à ce que la fille commette une petite maladresse sur un rond-point et loupe un créneau. Elle s’appelait Manon. Deux mois auparavant, je l’avais recalée à cause d’un catastrophique démarrage en côte et d’un autre créneau loupé. Dans le rétro intérieur, j’ai croisé le regard d’Hélène, sa monitrice. On se connaissait très bien. Puis je me suis tourné vers Manon qui persistait dans sa manœuvre, en vain : son créneau était vraiment foiré.C’était la dernière épreuve de la journée. J’ai dit à la fille :« Eteignez le moteur, mademoiselle. »Elle a obéi, puis m’a lancé un regard désespéré en disant :« C’est juste que je suis nerveuse. Vous allez encore me recaler ? »Elle avait les cheveux châtains, longs et lisses. Ils tombaient sur un petit chemisier blanc, légèrement décolleté, qui trahissait une toute petite poitrine. Elle portait une jupe noire et souple, assez courte, et des tennis blancs. Elle avait un assez joli visage et ses yeux m’imploraient.J’ai répondu :« Après un créneau pareil, c’est probable. »« Mais je vis à la campagne, dit-elle, et on n’a rarement l’occasion de faire des créneaux aussi serrés dans les villages. »« Oui, je comprends, mais il vous arrivera bien de vous rendre en ville quand vous aurez votre permis. »Elle cognait ses genoux de nervosité. J’ai porté les yeux dessus, puis sur ses cuisses. Elles étaient minces, un peu dorées. Elles avaient pris les premiers coups de soleil de la saison, tout comme ses bras très fins. Elle m’a dit :« Vous ne voulez pas être indulgent, s’il vous plait ? Je vais encore me faire gueuler dessus par mes parents. J’en ai marre… »Je la sentais sur le point de pleurer, alors j’ai posé ma main sur son épaule en disant :« Calmez-vous, mademoiselle. L’épreuve n’est pas terminée. On va aller dans la campagne, et si vous faites un effort, vous pourrez peut-être racheter ce vilain créneau. »« Oui, dit-elle, je veux bien rouler dans la campagne. Je suis plus à l’aise et j’ai vraiment pas envie de devoir encore annoncer à mes parents que j’ai encore loupé l’épreuve. »Ma main tenait toujours son épaule et elle me regardait.J’ai insisté :« Et vous êtes prête à faire un bel effort pour le décrocher, votre permis de conduire ? »Elle a secoué la tête et j’ai baissé les yeux vers ses cuisses. Elle a suivi mon regard, puis elle a répondu :« Oui, d’accord. »On a quitté la ville par la quatre-voies et pris une départementale. Manon conduisait bien. Elle était attentive à tout. Elle méritait son permis.De temps en temps, je croisais le regard d’Hélène dans le rétro. Elle me souriait et je revenais aux gestes de Manon. A sa main qui changeait de vitesse et ses cuisses.Nous avons traversé un petit bourg, puis j’ai demandé à Manon de suivre sur route communale très étroite. Nous avons croisé une voiture, güvenilir bahis puis un tracteur. Tout s’est bien passé. Nous n’avions plus échangé un mot depuis dix minutes quand je lui ai dit :« Ralentissez. Dans deux cents mètres, il y a un chemin de terre. Vous allez le prendre. »Elle a suivi les instructions, adroitement, puis prudemment quand les creux et les bosses du chemin se sont mis à secouer la voiture. Au bout d’un moment, j’ai dit :« Garez-vous au bord du chemin, juste là. »Elle a freiné, puis braqué doucement vers la droite.« Eteignez le moteur », dis-je.Elle a obéi, mais elle a oublié de serrer le frein à main. La voiture s’est mise à avancer toute seule et j’ai freiné à la place de Manon.Puis je l’ai regardée :« Ce coup-là va vous être fatale, je suis désolé. »« Oh non ! dit-elle. J’allais freiner au moment où vous l’avez fait ! »J’ai jeté un œil dans le rétro et dit à Hélène :« Qu’en penses-tu ? »Elle a avancé sa tête vers les sièges et Manon s’est tournée vers elle.Hélène lui a dit :« Elle a promis de faire un bel effort. »« C’est vrai », dis-je en regardant Manon.Elle n’a rien dit. Ses yeux allaient d’Hélène à moi. Constatant qu’on attendait une réaction de sa part, elle a fini par dire :« Dites-moi quel effort vous voulez que je fasse. »J’ai échangé un regard avec Hélène, puis j’ai dit à Manon :« Détache ta ceinture. »Elle a obéi et j’ai détaché la mienne. Elle ne me quittait pas des yeux. Elle attendait la suite des instructions.Je lui ai dit :« Relève ta jupe jusqu’à ton nombril. Cambre-toi, fais-la passer sous tes fesses. »Elle a obéi sans hésiter.Sa culotte était blanche, taille basse. Une fine toison dépassait un peu de l’élastique. J’ai posé une main sur sa cuisse et je lui ai dit :« Ecarte. »Elle a écarté.« Encore, dis-je. Ecarte au maximum. »Elle a obéi. Son genou a touché le levier de vitesse et j’ai fait monter ma main jusqu’à sa culotte. J’ai passé un doigt dessus, délicatement.J’ai dit :« Tu portes un soutien-gorge ? »Elle a remué la tête en répondant :« Non. »« Comment ça se fait ? »« Mes seins sont trop petits, ça ne sert à rien. »Hélène suivait tous nos gestes.J’ai continué :« Déboutonne ton chemisier et ouvre-le bien. »Elle a obéi.« Prends ton temps », dis-je.Elle a ralenti son geste, puis elle a ouvert les pans du chemisier. Ses seins étaient effectivement minuscules, à peu près du volume de deux moitiés d’abricots ornés d’un raisin sec. J’en ai caressé un et Manon a suivi le geste des yeux. A l’arrière, Hélène s’est mise à remuer. Je me suis tourné vers elle et j’ai constaté qu’elle était en train de défaire la fermeture de la robe longue qu’elle portait. Ensuite, elle a soulevé ses fesses du siège et l’a faire glisser le long de ses cuisses en me regardant.Je me suis tourné vers Manon. Son sein était tendre.Je lui ai dit :« Tout en enlevant ta culotte, türkçe bahis tu vas m’embrasser sur la bouche avec la langue. Approche ta jolie bouche. »Elle a obéi. Nos langues se sont aussitôt enroulées, nerveusement. Du coin de l’œil, j’ai vu la culotte glisser le long des cuisses, puis des jambes de Manon. Elle s’en est débarrassée et j’ai palpé son autre sein. La peau de Manon portait les traces très blanches d’un bikini. Le baiser se poursuivait. Il était baveux.Je l’ai interrompu pour dire :« Tu te fais bronzer avec les seins nus ? »« Oui », dit-elle.« Tu aimes qu’on voie tes seins ? »Elle a fait oui de la tête et j’ai ajouté :« Tu aimes ce qu’on est en train de faire ? »Elle a de nouveau fait oui, sans dire un mot, et je lui ai demandé :« Dis-le-nous à voix haute. »« J’aime ce qu’on est en train de faire. »« Dis-le-moi avec tes mots à toi. »Elle a quitté mon regard pour regarder ma main qui tripotait son petit sein, puis elle a relevé les yeux en disant :« J’adore ce que vous me faites. »Ma main a quitté son sein et s’est mise à caresser sa petite chatte poilue. Elle était douce. Le bord de ses lèvres était trempé. Je bandais depuis l’instant où elle avait accepté de me montrer sa culotte.Quand j’ai jeté un regard vers l’arrière, j’ai constaté qu’Hélène était quasiment à poil. Il ne lui restait plus que son soutif à dégrafer.J’ai dit à Manon :« On va sortir de la voiture. »Sur ces mots, j’ai ouvert ma portière. Je suis sorti et j’ai contourné la voiture par l’avant. Manon était sortie également. Elle était grande et très mince. Ses côtes saillaient, ainsi que les os de son bassin. A un mètre d’elle, je me suis arrêté pour ôter mes chaussures et mes chaussettes. Hélène est sortie. Elle était à poil. J’ai enlevé mon tee-shirt, puis mon pantalon et mon caleçon, en même temps. Hélène et Manon s’embrassaient sur la bouche en se tenant par la taille. Je me suis approché d’elle et j’ai touché le cul de Manon en disant :« Tu aimes les filles ? »Elle a répondu :« J’apprécie. »« Tu apprécies ou tu aimes ? »« J’aime les filles », dit-elle avant de se remettre à embrasser Hélène sur la bouche.Ma bite était raide.Manon avait un tout petit cul et j’ai aimé qu’il porte la trace nette d’un bikini. J’ai effleuré son anus, puis pris un sein dans ma main gauche. Manon a poussé un petit gémissement et je me suis aperçu qu’Hélène était en train de la masturber avec un doigt.Hélène avait d’assez gros nichons et une bonne paire de fesses, marquées de même par les traces d’un maillot, en haut comme en bas. J’ai frotté mon gland contre les fesses de Manon en lui disant :« Tu as un petit copain ? »« Oui. »« Comment s’appelle-t-il ? »« Ludo. »« Il se protège quand il te pénètre ? »« Au début, dit Manon entre deux soupirs, mais plus maintenant. »« Depuis combien de temps es-tu avec lui ? »« Presque un an. »« Et en un güvenilir bahis siteleri an, tu as accueilli d’autres queues dans ta jolie chatte ? »« Oui. »« Combien ? »Ses soupirs s’intensifiaient tandis qu’Hélène la branlait.« Deux », dit-elle.« C’était qui ? »Elle prit un temps pour répondre, et j’ignore encore aujourd’hui si elle a dit vrai ou si elle a menti, pour jouer.Elle a répondu :« Le meilleur pote de Ludo, et puis mon prof d’histoire. »« Ton prof d’histoire ? »« Oui. »« Quel âge avait-il ? »Elle poussa un long soupir, puis répondit :« La cinquantaine. »« Tu as aimé ? »« Oui. »« Qu’est-ce que tu as aimé ? »Nouveau soupir. Je me suis aperçu qu’elle tripotait un sein d’Hélène, sans qu’on ait lui rien demandé. Elles s’embrassaient toujours sur la bouche, mais Manon prit le temps de me répondre :« J’ai aimé tromper mon mec. »Je lui ai alors dit :« Reste debout et écarte bien tes jambes, au maximum. »Elle a obéi.Son cul ouvert s’est retrouvé quinze centimètres en-dessous du niveau de ma queue en érection, et j’ai dû plier mes jambes pour viser sa chatte avec mon gland. Je n’ai plus rien dit. J’ai senti le doigt d’Hélène qui s’agitait dans la petite moule humide. J’ai pénétré Manon sans lâcher son sein gauche. J’ai posé des baisers sur son dos et dans ses cheveux longs, tandis que ma queue glissait vers le fond de sa chatte. Elle a crié brièvement, puis je me suis retiré. Je l’ai pénétrée de nouveau et elle s’est mise à jeter des mots dans la forêt qui nous cernait :« Oh oui… Oui, putain… Putain c’est bon… »Entre ces mots, elle tétait un sein d’Hélène qui n’avait pas cessé de lui masturber la chatte, tandis que ma queue allait et venait à l’intérieur. J’adorais le contact de ce doigt nerveux avec mon gland gonflé à bloc.J’ai mis du temps à me rendre compte que Manon masturbait également la chatte de sa monitrice d’auto-école.La première giclée est montée d’un seul coup. Je n’ai pas cherché à la retenir. Elle a percuté le fond de la chatte de Manon qui a lancé un cri dans la forêt, puis je me suis retiré pour lâcher la deuxième giclée sur sa fesse droite.La troisième se réduisit à quelques gouttes laiteuses qui restèrent collées à mon gland. Je les ai cueillies du bout du doigt et portées sur le bout de ma langue pour les avaler.Ma première giclée s’était mise à couler de la chatte poilue de Manon.C’était au milieu du printemps et il faisait un temps radieux.Nous nous sommes rhabillés dehors.Quand j’ai dit à Manon qu’elle avait son permis de conduire, elle s’est précipitée vers moi pour m’embrasser sur la bouche. Elle avait seulement remis sa culotte. A l’arrière-plan, Hélène attachait son soutif, la chatte encore à l’air. Elle m’a dit en souriant :« Je t’avais bien dit qu’elle mériterait son permis. »J’ai caressé les cheveux de Manon et je lui ai donné un baiser sur chaque sein. Ses doigts ont effleuré mes couilles, puis elle a pris ma queue et s’est mise à me branler, doucement d’abord, puis, sentant que je me remettais à bander, elle m’a dit :« Je ne sais ce que je ferais pour vous remercier. »Vive la conduite accompagnée.:::
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