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Pasteur et maquereau 4
Pimped by her own pastor 4
Coulybaca / Black Demon
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Cette histoire se suffit en elle-même, Cependant elle est aussi une suite directe de « Violée et subjuguée pendant les vacances », « Le Pasteur se fait maquereau » et « Le Pasteur victime d’un chantage »,
« Pasteur et maquereau 1, 2 & 3»
(Victim’s Violated Vacation & Pastor’s a Pimp 1 & 2,
Pimped by her own pastor 1, 2, & 3)
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L’été était arrivé, il était temps de préparer sa visite à Presswood, Amos Thompson était extasié à l’idée de coucher avec ces ravissantes beau-tés.
Il était certain que cela lui avait coûté une somme rondelette, mais il avait conscience “qu’il en aurait pour son argent”.
Il ne s’agissait pas de se rendre dans un bordel pour se faire une pute qui lui ouvrirait obligeamment ses cuisses en service commandé, tout comme pour n’importe quel client qui paierait le prix requis.
Cette excursion à Presswood allait lui permettre de s’envoyer de savou-reuses jeunes femmes, sophistiquées, élégantes… Et surtout blanches.
Le professeur principal de psychologie de l’université Méridienne, mem-bre de la PPBN avait été éberlué de voir en vente sur le site du PPBN la succulente Kelly Garrison?
Cette somptueuse jeune femme fréquentait les cours de psychologie qu’il dispensait à l’université Méridienne, elle avait suivi plusieurs de ses classes et, depuis un bon moment, il avait secrètement envie de se faire cette ravissante jeune fille.
Il s’avérait par ailleurs que la somptueuse jeune fille habitait la ville de Presswood où le PPBN venait tout juste d’implanter un bureau où l’on pouvait sélectionner et acheter des jeunes femmes sur catalogue.
Désirant se faire les charmes de la belle Kelly Garrison depuis plusieurs années, Amos ne pouvait pas laisser passer cette occasion de la possé-der.
Il savait grâce au diamant qu’elle portait au doigt qu’elle était fiancée, elle devait sûrement se marier l’été qui suivrait l’obtention de son diplôme!
Et, ayant visionné sa performance sous hypnose avant que la vente aux enchères ne commence, il avait décidé de gagner les enchères la concernant d’autant que lors de son interview sous emprise hypnotique elle confirmait qu’elle réservait sa virginité pour sa nuit de noce cet été.
Il avait gagné le droit d’user et d’abuser des charmes de la ravissante Kelly lors des vacances de printemps ce qu’il avait bien l’intention de faire dès son retour de vacances, il avait d’ailleurs mis en oeuvre son plan dès qu’elle avait pénétré de nouveau dans sa classe de psycholo-gie.
Son pasteur avait implanté dans son esprit de le visiter pendant ses heu-res de soutien en fin de journée.
Depuis le début de la journée Amos attendait pour cette fin d’après-midi un premier retour sur investissement, il comptait bien se servir de la clef implantée dans son esprit par son vendeur, qui la placerait sous sa totale emprise.
Bien que la ravissante jeune femme ait les yeux grands ouverts, son es-prit ne fonctionnait plus, il n’enregistrait plus rien, il lui semblait évoluer dans un rêve et tout ce qui se passait dans son bureau faisait partie in-tégrante de son rêve.
Le sachant le professeur Thompson inséra sa main calleuse dans le V de son décolleté posant ses doigts épais sur son soutien-gorge en den-telle.
Il titillait d’un doigt expert son mamelon bourgeonnant puis il empauma totalement son nichon repoussant son soutien-gorge pour mieux cares-ser son nibard.
– Tu as drôlement bien sucé ton pasteur mademoiselle Garrisson! Je me suis branlé ces deux derniers jours sur la copie du DVD que m’a envoyé ton maître! Et maintenant montre-moi ce que le pas-teur Mollway t’as enjoint de faire au pasteur Knowlton! Lui intima-t-il en sortant sa main de son décolleté pour se poster face à elle.
Et la ravissante étudiante en Psychologie Avancée, cette jeune fille pure et guindée, tendit la main pour dégrafer sa braguette.
– Ahhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii… Gémit-il alors que sa petite main manucu-rée plongeait dans l’ouverture de sa braguette à la recherche de sa mentule bandée.
Il avait pris la précaution de verrouiller la porte de son bureau dès qu’il l’avait activé sa dépendance il savait qu’aucun étudiant ne viendrait per-turber cette heure de réunion.
– Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh… grognait-il alors qu’elle promenait la pointe de sa langue sur son, méat turgescent.
– Ohhhhhh… Encore! Pantelait-il alors q’elle le branlait habilement de sa main gauche ornée de sa bague de fiançailles alors que sa main droite enfoncée dans son caleçon triturait lascivement ses grosses burnes velues.
Il posa alors sa main sur la nuque de la blonde beauté, aux yeux bleus grands ouverts, la regardant dans les yeux il souffla :
– Je vais jouir ma chérie… Avale ma semence… Avale tout… Oh oui comme ça mademoiselle Garrissonnnnnnnnnnnnnn!
Et plus tard cette nuit même, guidée par les suggestions hypnotiques implantées dans son esprit, elle bursa escort lui rendait visite à son domicile afin de discuter de sa note moyenne du dernier trimestre.
Une fois la somptueuse jeune fille totalement sous emprise, attirée dans son antre, il avait décidé de s’emparer de sa plus grande fierté, sa virgi-nité!
Comme elle était sous dépendance il lui était facile de s’emparer de sa précieuse virginité qu’elle tenait à conserver intacte pour l’offrir à son fu-tur mari lors de leur nuit de noce!
Dès qu’il se mit à la caresser intimement il l’allongea sur son lit alors que toute la scène était capturée par une caméra en service.
La sortant brutalement de son état de stupeur,
Amos prit un énorme plaisir à replonger la ravissante jeune fille dans la réalité.
Il l’observait attentivement alors qu’elle clignait des yeux, hébétée, puis elle pantela en le reconnaissant.
– Professeur Thompson… Que se passe-t-il? Où suis-je? Balbutia-t-elle, ce à quoi il répondit sans vergogne :
– Tu es dans mon lit ma petite Kelly chérie… Tu me pries de te met-tre un A… En échange de rapports sexuels!
L’horreur envahissait Kelly Garrison, en réalisant qu’elle se trouvait entiè-rement nue contre son prof qui frottait son musculeux corps noir contre le sien.
Les yeux écarquillés d’épouvante, elle sentait sa bite bandée se presser dans sa fentine.
Terrifiée elle le supplia :
– S’il vous plait… Non… Nonnn… Ce n’est pas vrai… Je ne suis pas venue chez vous pour coucher avec vous! Nonnnnnn… C’est un viol! Arrêtezzzzzzzzzzzzzzzzzz!
Il ne prêtait aucune attention à ses lamentations, et se prépara à fractu-rer son hymen, elle hurla alors qu’il donnait un violent coup de boutoir.
– Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!
Son cri d’horreur emplit la chambre, ce hurlement lui semblait une douce musique, cela valait bien le prix payé!
Projetant une nouvelle fois son bas ventre en avant, il planta son épaisse mentule dans sa fente virginale, elle cria de plus belle :
– Owwwwwwwwwwwwwww… Arrêtez.. Arrêtez… J’ai mall-lllllllllllllllll… Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuu… Aide-moi…
Amos riait à pleines dents, et gloussa :
– Dieu ne peut rien pour toi, ma chérie! En fait, d’une certaine façon il est à mon coté heh, heh!
Son corps lourd clouait la frêle jeune femme sur son lit alors qu’elle ten-tait vainement de lui décocher des coups de pied.
Son investissement s’avérait productif il lui avait permis de ruiner la vie de cette naïve jeune blonde, de saccager son pucelage avant d’éjaculer sa fertile semence au fin fond de son utérus alors qu’elle sanglotait :
– Non… Non… S’il vous plait professeur… Arrêtez… Je vous en prie… Vous risquez de m’engrosser!
Toute la scène avait été capturée par la caméra et n’importe quel spectateur qui la visionnerait en conclurait que Kelly Garrison l’avait visité pour obtenir un “A” en couchant avec son prof, dès cet instant la naïve jeune femme avait du se plier à un chantage qui faisait d’elle l’esclave sexuelle de son prof.
Le jour de la remise des diplômes, Amos s’était débrouillé pour se rendre à la salle de réception ou étaient réunis les parents et amis des impé-trants.
Il frissonnait de joie à l’idée de rencontrer le connard de petit blanc qu’il empêchait de cueillir la précieuse fleur de sa fiancée.
Il voulait féliciter l’adorable jeune fille, il l’embrassa sur les joues et lui su-surra à l’oreille :
– Réserve-nous la suite nuptiale la veille de tes noces! Raconte à tes parents que cela sera plus facile de t’y habiller pour te rendre à l’église! Je veux te baiser une fois encore… La nuit précédant ta nuit de noce! Tu revêtiras ta robe blanche et ton voile de mariée!
Il frémit aussi en rencontrant l’élégante et sophistiquée madame Patricia Garrison, la mère de Kelly.
Bien qu’il n’ait pas reçu d’invitation à la noce, il s’esclaffa :
– Il me reste à te remercier pour ton aimable invitation ma chère Kel-ly… Cela tombe très bien, je dois justement effectuer du recrute-ment dans une ville voisine de Presswood, je serai donc sur place et parfaitement disponible pour répondre à ton invitation!
Il avait à peine formulé ses remerciements que la mère de la future ma-riée insistait pour qu’il vienne partager leur repas après la noce, avant qu’il ne quitte Presswood.
Cela engageait Amos à prendre contact avec le pasteur Mollway, le per-vers ex-pasteur qui avait manigancé la mise en vente des charmes de la délicieuse Kelly.
Deux semaines après la remise des diplômes et une bonne semaine avant la cérémonie de mariage, Amos put voir au travers de son écran, le professeur Mollway placer l’élégante et sophistiquée mère de la ma-riée sous son emprise hypnotique.
Dans son bureau, l’insouciante beauté s’engageait à apporter son sou-tien aux bonnes causes de l’église et plus particulièrement à guider les futurs époux pour que leur futur couple soit aussi réussi et harmonieux que le leur.
Une fois la görükle escort mère de la mariée sous suggestion hypnotique, le pasteur Knowlton responsable de la congrégation de Presswood se glissa dans le bureau.
Il observait le professeur Mollway amplifier son emprise
sur sa délicieuse proie à venir, lui posant des questions qui devenaient de plus en plus intimes.
– Comment t’appelles-tu?
– Patricia Garrison!
– Quel âge as-tu?
– 43 ans!
– Travailles-tu?
– Oui!
– Que fais-tu?
– Je suis la principale du lycée de Presswood!
– Depuis combien de temps es-tu mariée?
– 22 ans!
– As-tu déjà trompé ton mari?
– Non, jamais!
– Avais-tu déjà eu des rapports sexuels avant ton mariage?
– Non!
– As-tu déjà pensé à faire l’amour avec un autre que ton mari?
– Non!
– As-tu déjà fait une fellation?
– Non!
– As-tu déjà été sodomisée?
– Non!
– As-tu déjà entendu parler de la légende concernant les bites des noirs?
– Oui!
– Penses-tu que c’est vrai?
– Je ne sais pas!
– T’es-tu déjà demandée si c’était vrai?
– Oui!
Ce jeu de question réponse était destiné à implanter dans son esprit afin de créer un puissant désir de résoudre les dernières questions.
Puis le pasteur Mollway empoigna son téléphone, la seconde suivant la ligne directe du pasteur Thompson sonnait, il décrocha pour prendre le coup de fil du pervers pasteur.
Un coup d’œil sur son moniteur affichant le numéro de l’appelant lui avait suffi pour constater que ce coup de fil provenait de son “complice” qui avait placé madame Garrison sous suggestion hypnotique.
Comme la somptueuse épouse n’avait jamais eu de relations sexuelles en dehors de son couple Amos était assuré d’être le premier étranger à tremper son biscuit dans la chatte de cette femme fidèle au corps si af-friolant.
Son investissement lui permettrait par ailleurs d’être le premier à l’enculer, il allait lui fracasser son pucelage anal!
De plus le pasteur Mollway allait implanter une gerbe de suggestions l’amenant à rêver de lui toutes les nuits à venir se demandant comment se passerait une séance de baise avec le prof noir de sa fille chérie.
Il avait par ailleurs implanté dans son esprit qu’elle devrait appeler son mari dans la cuisine de façon à donner à Amos le temps de glisser de la drogue dans leurs verres, un puissant assommoir pour son époux et un puissant aphrodisiaque dans le sien!
Cette conversation terminée Amos regardait l’écran de son ordinateur sur lequel les deux complices abusaient de la malheureuse Patricia Gar-rison, il ne pouvait vraiment pas les blâmer de profiter des charmes que la délicieuse madame Garrison ne pouvait leur refuser.
Il paraissait évident que le vieux Mollway était un fétichiste du pied, il avait tout de suite pris position face à ses jambes tendues.
Il avait alors entrepris de les lui caresser lentement sa main partant du genoux pour se glisser sous la jupe. Puis cette main réapparaissait, des-cendant jusqu’à ses chevilles pour les délester de ses hauts talons.
Il mignotait maintenant ses plantes de pied et ses orteils soigneusement manucurés tout en se débraguettant pour extraire sa grosse mentule rai-die de son caleçon.
Il la fourra ensuite entre ses plantes de pieds dont il se fit un soyeux fourreau, visiblement il prenait grand plaisir à cette pratique.
Pendant ce temps, le jeune Pasteur Knowlton n’était pas resté inactif, il se branlait énergiquement au coté de la somptueuse paroissienne qu’il convoitait.
Il tendit la main pour agripper son poignet gauche la refermant sur sa hampe raidie.
Son alliance et sa bague de fiançailles étincelaient alors qu’elle manipu-lait sa mentule bandée, c’était vraiment très excitant.
Quelques instants plus tard, lorsque les deux hommes eurent satisfaits leurs appétits lubriques, la charmante femme gisait sur le lit la jambe repliée, le pied reposant sur le rebord d’une chaise.
Il était visible qu’ils avaient tous deux éjaculés sur elle, des larmes de sperme gouttaient de ses orteils et de sa plante des pieds de l’éjaculas du pervers Mollway, alors que sa main était engluée du foutre du jeune pasteur Knowlton
Dix jours plus tard, un mercredi soir, le pasteur Knowlton se trouvait d’en son église pour conduire la répétition du mariage de Kelly Garrison et de son fiancé.
A l’insu du pasteur Knowlton, son acolyte avait gagné son domicile peu après son départ pour l’église.
Mollway avait appelé l’adorable Neil Knowlton un peu plus tôt, le fait de prononcer la phrase magique “Pouf Pour Bites Noires” lui avait permis de l’inviter à recevoir un visiteur peu après le départ de son mari.
Une fois que le pasteur Mollway eut fait les présentations il lui annonça :
– Le professeur THompson n’a jamais baisé avec une femme de pasteur auparavant… Aussi m’a-t-il demandé de lui arranger ce rendez-vous avec toi! Tu vas t’occuper de lui tandis que ton mari est à l’église bursa escort bayan ma chérie! Mais d’abord sers-nous un verre de vin ma chère madame Knowlton!
Amos prit son verre des mains de la somptueuse jeune femme et s’ap-procha d’elle, il la sentit trembler de tout son corps alors qu’il lui caressait le dos.
Il se pourlécha alors les babines en contemplant la ravissante épouse du jeune pasteur vêtue d’une élégante robe bleue marine et de hauts talons blancs.
Avec impatience il descendit la fermeture éclair dorsale de sa robe puis glissa sa main dans sa robe.
Il l’entendit retenir sa respiration alors qu’il titillait un mignon petit téton au travers de son soutien-gorge de dentelle.
De sa main libre il dégrafa le clip dorsal de son retrousse-téton une se-conde plus tard il baillait lamentablement. Il put alors empaumer la totalité de son nibard dénudé en glissant sa main sous le bonnet du soutien gorge détendu, puis il flatta son jumeau, ses tétons s’érigèrent avec force.
Quelques instants plus tard, dans la chambre qu’elle partageait habituel-lement avec son mari, la robe de l’adorable Neil chuta sur ses chevilles autour de ses hauts talons blancs.
Une seconde plus tard, son soutien gorge l’y rejoignait. Puis ce fut le tour d’une affriolante petite culotte blanche.
Si Richard Knowlton avait pu jeter un oeil dans sa chambre à cet instant, il aurait vu la fine main manucurée de sa jeune femme se poser sur des épaules noires musculeuses, la tête rejetée en arrière alors qu’elle miau-lait de plaisir sous les caresses de l’athlétique noir qui lui butinait avide-ment le minou.
C’était un délice de voir la belle femme du pasteur lui agripper la tête et ses doigts crochant ses cheveux crépus.
– Ooooooooooooooooh… Oh, professeur… Ooooooooooooohhh… Ahhh, ahhhhhhhhhhhhhh… ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Couinait-elle alors que son doux nectar coulait à flot dans sa bouche ensorce-lante.
Il recula sa tête, ne titillant plus les babines de sa partenaire de la pointe de la langue, Amos butinait la chatoune de la jeune femme du pasteur avec expertise alors qu’elle coulait toujours à flot dans sa bouche.
La scène était savoureuse alors que cette douce femme de pasteur à l’air si ingénue lui agrippait la chevelure en hurlant et criant :
– Bouffez-moi… Bouffez-moi la chatte, professeuuuuuuuuuurrrrrrrrr!
Depuis qu’il avait demandé si la jeune femme du pasteur Knowlton faisait partie du cheptel de l’association et qu’il avait décidé d’user ses charmes une nuit entière, le vieux pervers était sûre qu’elle aussi avait un profond besoin de satisfaire ses appétits sexuels, certain que seul un type parti-culier de relation pouvait maintenant satisfaire ses appétits de stupre… Celles fournies par une bonne grosse bite boire!
Il connaissait ses besoins secrets, ces besoins qu’elle avait développé depuis son viol initial pendant les vacances de l’année dernière!
Il était important pour la belle Nell Knowlton de protéger son image de respectabilité, celle de la digne femme du pasteur de cette communauté.
Elle avait tu son viol, ainsi que ses débordements avec de nombreux hommes noirs, c’était quelque chose qu’elle ne pouvait s’expliquer que cette attirance irrésistible pour ces expériences sexuelles illicites.
Puis l’infâme ex pasteur qu’elle pensait un ami s’était mis à la faire chan-ter l’obligeant à coucher avec lui puis la prostituant à de nombreux noirs musculeux qui s’acquittaient d’une somme conséquente pour user et abuser de des charmes en toute liberté d’une jeune femme qui semblait si innocente.
De plus le fait qu’elle soit la femme d’un pasteur la rendait d’autant plus excitante aux yeux de ses clients.
Bien qu’elle soit toujours bourrelée de remords après avoir écarté les cuisses pour un autre que son mari, Nell n’avait pas eu d’orgasmes satisfaisant depuis des semaines alors que ce professeur Thompson lui procurait un orgasme d’une intensité diabolique.
Elle comprit alors en le voyant serrer les cuisses autour de sa tête qu’il entendait bien qu’elle lui procura les mêmes délices.
Désireuse de le satisfaire pleinement, elle déboucla rapidement sa bra-guette et extirpa sa grosse mentule noire de son caleçon, et entreprit de la sucer avec avidité. Elle enveloppait sa hampe de la langue, flattait son méat de la pointe de la langue puis redescendait lascivement jusqu’à ses burnes.
Son obscène performance lui parut surtout si incongrue lorsqu’elle en-tendit ce pervers bâtard exploser de rire en ironisant :
– C’est la meilleure fellation qu’on m’ait faite depuis longtemps, ja-mais je n’aurai soupçonné que tu sois aussi experte et enthou-siaste!
La ravissante femme du jeune pasteur était disposée à quatre pattes, elle sentait qu’il ne tarderait pas à agir!
Elle priait pour qu’une chose lui arrive, elle ne voulait pas qu’il explose dans sa bouche alors qu’elle avait désespérément besoin de le sentir en-fouir son gros chibre noir dans sa chatoune affamée.
Elle jeta un oeil vers le professeur tout en continuant à lui tailler une sa-voureuse pipe, elle le supplia alors :
– Je vous ferai jouir dans ma bouche plus tard… J’ai trop envie… De vous sentir en moi! Je vous veux… Je veux que me vous me bai-siez à couilles rabattues!
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