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Ma tenue consistait d’une mini-short en jean, de basses résilles, d’un débardeur rose, beaucoup trop court, et de simple de basket….
Je me retrouvais sur le trottoir, mais ce coup ci, hors de question de rentrer bredouille. Je me mettais bien en vue,
Mon petit corps de pute rencontra vite le succès. Un mec banal, pas trop moche, il voulait une pipe.
Je montais dans sa voiture, lui indiquait un coin tranquille, lui enfila une capote après avoir pris l’argent, et commença ce qui devait devenir mon futur métier. Il jouit assez vite dans sa capote, et me renvoya de la bagnole…
J’éclatais en sanglot, je venais de sucer volontairement un inconnu contre de l’argent, c’était terrible. J’étais démoli intérieurement, mais il fallait que j’y retourne, hors de question que je ne rentre avec rien, la punition serait trop terrible, il fallait que je contente Vincent sur ce coup-là.
Il passa me récupérer top le matin. Je lui donnais l’argent. Il le prix d’un air satisfait par mes trois prestations (2 pipes rapides, et une prise en levrette, contre un arbre, par un mec un peu brutal), il voulait parler mais je ne lui laissais pas le temps, en éclatant une nouvelle fois en sanglot.
Il attendit 5 minutes que je me calme, sans dire un mot, je crois qu’il n’en avait rien a foutre, alors que je venait de faire la pute pour lui. Il parla calment :
« Enlève ton short »
Lutter ne servait pas à grand-chose, j’ obéis tout en reniflant comme une gamine. Il me fit écarter les cuisses, puis allongea le siège passager de la voiture.
« Ça m’excite que tu fasse la pute pour moi Stacy »
Ce furent ces seules paroles, il me besogna comme un âne, brutalement et sans aucune tendresse, alors que je savais qu’il savait le faire. Il joui vite dans ma chatte de prostitué de rue.
Je rentrait épuisé, eu le droit à une douche, et m’endormit instantanément…. Je dormis très mal, me réveillant très régulièrement en larme, tout en cauchemardant. Se résoudre à être ça, une pute de bas quartier, c’était vraiment très dure.
Le reste de la semaine fut d’une monotonie abjecte. Vincent m’envoya 3 jours faire le trottoir, ce que je me résignait à faire, de peur de la sanction. Je devenais une putain efficace, arrivant à satisfaire mes clients dans un temps record, afin de pouvoir enchaîner sur la prochaine bite qui allait me souiller…
.
Il me baisa aussi , mais plutôt bien quelques fois, J’étais extrêmement honteuse de jouir de cette homme qui m’envoyait payer les dettes de mon père avec mon cul et ma bouche
Un soir alors que j’étais de « repos » (Je m’ennuyais terriblement dans ces moments, mais je soupçonne Vincent de Ankara escort faire exprès pour rendre mes « sorties trottoir » moins pénible ; et franchement ça marchait….), il se fit livrer à manger. Le livreur sonnât.
Vincent me demanda d’ouvrir. Je portais alors la tenue du choix de Vincent, une minijupe et un chemisier très décolleté ; bien entendu, je ne portais aucun sous- vêtement.
J’ouvrit, le livreur, un jeune boutonneux de 18 ans, mit plusieurs secondes avant de me tendre les sacs.
Ça fera 35€ s’il vous plait, bredouilla t’il, ses yeux littéralement vissé sur mes nichons quasiment apparents. Je réalisait connement que je n’avait rien pris. Je me dirigeais vers le salon :
« Vincent, pouvez vous me donner de quoi payer le repas? »
Il se tourna vers moi avec un regard appuyé…..
« Franchement, Stacy, t’as toujours pas compris?.. » Il ne finis pas sa phrase, mais j’avais compris. Le mec était jeune, il fallait l’aider.
Je retourna devant la porte, fit mon sourire le plus aguicheur possible, bon vu son age et sa tronche, j’allais m’en tiré pour une pipe rapide, ça allait être bouclé en moins de 5 minutes.
Je lui dit. J’ai l’argent sur moi, mais que je le retrouvais plus. C’était un peu ridicule, car je portais vraiment peu de vêtement…
« Vous voudriez bien m’aider? je suis perdu sans un homme a mes côtés »
Le livreur n’osa rien, quelle truffe celui-là. Je lui pris la main, et la glissa dans mon décolleté, ce qui le fit réagir, il commença à pétrir mon sein, je le fit entrer, puis dégrafa son pantalon, avant de me mettre dans une de mes postures les plus communes en ce moment : A genoux devant une bite.
Je pris son membre en bouche, il sentait fort, mais ce n’était pas la pire des bites que j’avais sucé, et de loin. Le mec était jeune, j’avais l’expérience, et en moins de 5 minutes je sentis son membre se raidir une dernière fois. Je n’avais pas trop envie d’avaler, mais Vincent ne voudrait pas que je crache, et il ne fallait pas que ça goutte par terre, ou je devrais lécher.
Je sorti le membre de ma bouche et pointa l’engin sur ma poitrine, afin qu’il se vide sur mes seins. Après avoir joui, je le poussai dehors et ferma la porte.
Vincent refusa que je m’essuie avant de manger, et je passais le repas, en face de lui, mes seins dégoulinant de sperme. Heureusement cela sécha assez vite. Vincent me baisa ensuite à même la chaise, visiblement excité par ma pipe sur le livreur.
Il me laboura la chatte, cette fois si sans penser à mon plaisir (au moins je n’aurais pas la culpabilité de jouir)
Il me congédia ensuite dans ma chambre, sans autre formalités…
Encore ankara rus escort une semaine de prostitution forcé, et Vincent vint me voire : Bon Stacy, tu travaille bien, ton père pourra etre fière de toi. Comme convenu tu as le droit d’écrire une lettre à ta famille.
Ça allait me faire du bien. De toute façon, quand Vincent ne me baisait pas, ni m’envoyait bosser sur un trottoir, je restais cloitré dans ma chambre à rien pouvoir faire. Au début j’appréciait ces moments de calme, mais maintenant l’ennuie était mortel.Ma nouvelle vie était très monotone :elle se résumait à quelques positions : allongé avec un mec dessus ; a genoux avec une bite en bouche, et assise dans ma chambre à mourir d’ennuie.
Vincent prenait soin de sa poule, m’amenant régulièrement chez l’esthéticienne, et chez le coiffeur, afin que je garde bien ma teinture blond platine de pétasse décolorée.
Un weekend, il me prêta même à des potes qui avait besoin de se détendre visiblement, Je passais un weekend de baise dans une superbe villa, a baiser des vieux hommes blancs et riches. Ce fut long…Un des hommes s’est même endormi sur moi après avoir joui dans moi ; et j’ai du passé 4 heures avec ce gros porc allonger sur moi avant qu’un autre mec veuille me baiser aussi et le réveille.
Un événement allait rompre cette monotonie ; J’allais passer un weekend en famille, avec Vincent, conformément au contrat qui avait fait de moi la petite pute de Vincent.
Forcément, j’appréhendait ce moment. Ma famille allait découvrir mon nouveau look de pute au rabais, et j’étais sûr que Vincent se débrouillerait pour me « mettre en valeur » comme il disait.
Ça ne ratait pas. La veille du weekend, Vincent me fit faire le trottoir, il m’avait juste vêtu d’une micro-jupe plissé, rose et noire, ainsi qu’un débardeur blanc, coupé juste sous les seins ; des bas résilles blanc a grosse maille, dans des chaussures à plateforme de hauteur indécente.
J’avais forcément eu beaucoup de succès cette nuit, totalisant plus de 10 prestations plus ou moins originales. Quand Vincent me récupéra, je sentais un mélange de sexe, foutre, d’homme et de parfum bon marché.
On ne passa pas à l’appart, et nous primes la route vers chez mes parents, ce qui me permit de dormir un peux. 30 minutes avant d’arrivé, il me réveilla ; on était dans les bouchons.
« On est bientôt arrivée, mais t’as le temps pour une pipe, alors au boulot »
Il baissa ensuite son pantalon sur les chevilles.
Sans poser plus de question, je me mis sur ces genoux et commençait a sucer son membre que je connaissais par cœur. J’avais ankara türbanlı escort attendu un point dans la déchéance ou je me ficher de savoir que toute les voiture qui passait à côté de la nôtre pouvait me voire en traine de pratiquer une pipe dans la bagnole.
Vincent m’avait déjà bien dressé à la pipe ; il ne fallait pas que je lui bâcle ça, et je m’appliquais pour que cela dure un peu. Il jouit avec un râle de plaisir non simulé, et j’avalait comme il m’avait ordonné, non sans laisser échapper quelques gouttes sur mon menton.
Je me rassis normalement, quand Vincent m’ordonna de me remaquiller, ce que je fis avec obéissance. Un petit coup d’œil dans le miroir me renvoya l’image d’une pute bien vulgaire, mais objectivement, c’était ma réalité maintenant…
Nous arrivâmes assez vite. Mes sœurs se précipitèrent sur moi pour m’enlacer, faisant abstraction de mon look et mon odeur ; exprimant leur joie de me revoir (Elles oubliaient que ce sont elles, par leur vote, qui on fait de moi une pute). Mon père m’étreignit aussi, tout en exprimant ses plus grands regrets.
Seule ma mère fit un mouvement de recul à l’odeur prégnante de sperme que j’émanais.
On rentre et passa vite à table, en échangeant des banalités ; malgré mon look, je passais un bon moment en famille, évoquant les souvenirs les plus joyeux de nos années innocentes. Bérénice, ma sœur cadette, nous présenta son Mec, Julien, avec qui elle était fiancé depuis 2 mois. Il était plutôt beau mec, et il fit des efforts énormes avec moi pour ne pas se fixer que sur mon look ; malgré tout, je surpris plusieurs fois son regard plongeant dans mon décolleté.
On passa l’après-midi ensemble, et on enchaîna sur la soirée. Après le repas, et avant le dessert, Vincent m’emmena dans la chambre de mes parents. Il me dit :
« Je vais te baiser maintenant dans le lit de tes parents ; t’inquiète ce coup si je vais y mettre mon talent, mais je compte sur toi pour faire un maximum de bruit. »
Je savais que lui désobéir était pire que tout, mais la réalité est que je passais un bon moment, et quand Vincent commença ses caresses, j’étais déjà bien excité. Après 15 minutes de travail, je poussais des cris de « oui » » oui appuyé, et enfin un râle de plaisir quand mon orgasme arriva.
Quand on retourna dans la salle à manger, bien sûr que tous les regards se tournèrent gêner vers nous….
On passa néanmoins une bonne soirée de discussion et jeux de cartes, ma chatte dégoulinant régulièrement du foutre de Vincent.
On se coucha tard, et Vincent fit profiter toute la maison ses performance sexuelles. Il faut dire qu’il savait vraiment y faire, et malgré tous mes efforts pour conserver le silence, j’étais dévasté par ses coups de rein, et je finissais par lâcher des cris puissants lorsque mon orgasme monta et explosa….
Je dormis comme un loir, satisfaite enfin de dormir dans un environnement familier
, mais néanmoins craintive de ce que me réservait Vincent pour le lendemain….
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