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La Chambre 66Travaillant depuis peu dans une salle de petites quilles du mardi au samedi de 17 heures à 22 heures. J’étais affecté à la cuisine en compagnie de ma patronne Sylvie puis à l’entretien ménagé faisant cette corvée tôt le matin. Le menu comportant essentiellement des hamburgers, des ailes de poulet piquantes et des club sandwichs accompagné de frites. Il y avait aussi une jeune étudiante qui était au comptoir pour faire la caisse ainsi que louer les allées et les souliers de quilles. La salle amenant une clientèle féminine à presque 70 pourcents d’un âge assez avancé. Sylvie discutant avec moi après mon premier deux semaines de travail…Sylvie – Çà va l’emploi…Moi – Oui…Çà va… Sylvie – Il y a plusieurs madames qui me demande si tu es célibataire…Moi – Oui…Je suis célibataire…Pourquoi cette question…Sylvie – Je sais pas trop…Je crois qu’elle voudrait te connaître un peu mieux…Cette demande vient la plupart du temps de clientes régulières…Vivant tout près dans une résidence pour dames âgées…Moi – Ah bon…Elles sont en manques ou quoi…Sylvie – Hummm…Peut-être…T’as seulement 23 ans n’est-ce pas…Moi – Oui 23 ans…Sylvie – Il y a un bar tout près…Tu y vas des fois…Moi – Que très rarement…Sylvie – En fait…Si tu te présentes à ce bar un vendredi ou bien un samedi…Fort probable que tu risques de te faire solliciter par l’une d’elles…Les vieilles t’attirent…Ou bien tu préfères les éviter…Moi – Je sais pas trop…J’ai jamais vraiment essayé…Sylvie – Il y a une Maryssa puis une Carmen qui me pose souvent quelques questions sur toi…Tu les vois des fois prendre un café au comptoir…Moi – Je me rappelle de Maryssa…La petite dame aux cheveux blanc portant des lunettes…Mais je crois me souvenir de deux Carmen par contre…La blonde ou bien l’autre…Sylvie – La blonde…Moi – Ah bon…(Elle avec des gros seins)…Sylvie – L’une d’entre elles m’a aussi mentionnée qu’elle pourrait te payer en retour de services quelconques…Elles sont toutes autonomes illegal bahis à leur résidence en passant…Et quand même assez fortunées…Moi – Ah…(Venant de la part de Carmen ou bien Maryssa…Peut-être…)…Le vendredi arrivant mon travail terminé. Je décide alors d’aller tâter le terrain au bar du coin. Un bar à chanson country fréquenté éventuellement en majorité par des femmes d’un âge avancé. Apercevant Carmen au loin dans les alentours de 22 heures 45. La madame s’approchant 15 minutes plus tard à ma table pour discuter un peu. Notant qu’il y avait une bonne quarantaine de personnes dans l’endroit…Carmen – Salut…Moi c’est Carmen…Une cliente de la salle de quilles…Moi – Ah…Salut Carmen…Carmen – C’est la première fois que je te vois ici…Moi – Disons que mes goûts musicaux sont plutôt aux antithèses de la musique country…Carmen – Ah…Évidemment…Et la clientèle est quand même assez âgée…Moi – Quand même assez…Sylvie – Ton verre est vide…Veux-tu que je t’en payes un autre…Moi – Volontiers…Ce ne serait pas de refus…Discutant toujours avec la madame Carmen me citant qu’elle avait eu un cheval par le passé. Un bel étalon brun vif comme l’éclair. Un mâle reproducteur qui pouvait saillir quatre juments par jours en monté libre à deux à trois reprises chacune. Débutant ses assouvissements vers l’âge de 3 ans. Il fût éduqué par des femelles âgées entre 14 et 15 ans. Un cheval qui labourais aussi la terre. Son fourrage pouvait être constitué d’avoine pour le rendre plus vigoureux et ardant lorsque qu’il devait effectuer des cadences plus soutenues. Elle mouillait aussitôt qu’elle le voyait dans l’enclos saillir ses prétendantes. Caressant ma cuisse un instant. Elle me demande alors…Sylvie – T’aimerais m’accompagner au résidence…C’est tout près…Et je suis à pieds…Moi – Moi aussi je vis tout près…Je n’ai pas de voiture en passant…Sylvie – Ah…On pourraient marcher ensemble jusqu’à chez moi…Si tu le veux bien…Moi – Ok…Si vous voulez…Marchant illegal bahis siteleri lentement ensemble vers son logis la madame collant par moment ses gros seins sur mes flancs. Discutant à sa chambre tout en buvant une coupe de champagne chacun. Je ressentais une forte chaleur émaner du corps de la dame de 64 ans. Plus petite que moi mesurant 5 pieds 2 pouces. Blonde aux yeux verts avec une grosse poitrine tombante et quelques courbes. Divorcé depuis plusieurs années avec ses lèvres rougies. Vraiment belle n’affichant que quelques rides au visage sur sa peau laiteuse. Elle portait un pantalon noir et un débardeur rayé noir, blanc et mauve serrés. La conversation tergiversant vers quelque chose de plus concret. Carmen y allant alors plus directement dans ses convictions…Sylvie – T’as envie de me baiser…Moi – Ah…Ok…Sylvie – On ne le fera pas ici…Mais plutôt à la chambre 66…Moi – Ah…Bon…Pourquoi la chambre 66 si il n’y a à peu près que 20 chambres…Sylvie – Aucune importance…Mais c’est l’endroit où nous allons batifoler…Entrant dans la petite chambre un peu plus loin démunie de fenêtre. Il y avait un petit lit simple assorti d’une couverture grise pâle. Une peinture de Jésus d’origine russe accroché au mur, un évier sous un petit miroir, une lampe, une chaise de bois puis un petit bureau. Remarquant un livre sur le dessus de celui ci intitulé Comment s’assouvir d’une vieille jument. Carmen s’absenta un instant tout en me disant de ne pas bouger. Après 5 minutes d’attente. Je décide alors de feuilleter un peu le livre sur le bureau pour y découvrir une histoire érotique assez perverse. Un vingt dollars puis trois images assez explicites. Trois esquisses illustrant un jeune homme en compagnie d’une vieille dame de silhouette ronde. La première assez simple démontrant un accouplement en levrette. Les deux autres exposant la dame affublé d’un masque vénitien et d’une petite culotte noirs. Assortie d’une cravache à fouetter son homme. Elle sodomisait sa proie sur la canlı bahis siteleri troisième illustrations. Jambes ouvertes sur le rebord du lit à l’aide d’un godemichet ceinture tout en lui masturbant la tige. Espérant ne pas avoir à subir cette dernière position sexuelle dans un avenir prochain. Carmen entra alors 15 minutes plus tard habillé d’un peignoir blanc avec un bol de gruau à la main. Tout en me disant que ceci allait me donner de la vigueur durant l’ébat…Sylvie – Mange ton gruau…Ensuite déshabille toi…Tu te mets debout…Puis je vais te faire une fellation…Une fellation plus tard découvrant le corps nu de la madame pour une première fois. Je déguste et caresse alors sa grosse paire de seins puis sa vulve grise au pubis taillé court. Pour ensuite la pénétrer en missionnaire dans le lit d’une cadence soutenue. Baisant à son rythme avec ses deux mains empoignants mon fessier. Repoussant celui ci pour avoir une cadence plus lente. L’approchant pour se faire piner plus rudement. Fourrant Carmen d’une séquence sonore rappelant un cheval qui mange de l’avoine dans un sceau sans les gémissements (Ref.Youtube.A Horse Eats Oats). Carmen mouillait comme une chienne et était chaude comme de la braise. Mes mains étaient placées sous son gros cul rond durant l’accouplement pour la besogner bien ferme et la faire venir. Et finalement me faire chevaucher pour voir sa grosse poitrine vaciller devant mes yeux…Sylvie – Aaaahhhh…Ouiiiiiiii…Ouiiiiiiiiii…Aaaaahhhhhhhh…Quelques instant plus tard…Sylvie – Hummmmm…C’était bon…Tu peux dormir ici…Ou bien retourner chez toi…Moi…Je vais être à ma chambre…Moi – Ah…Je vais peut-être dormir ici…(Le disant un peu éméché)…Sylvie – Si tu veux prendre une douche…Il y a une salle assorti d’un bain…Puis une douche commune à aire ouverte avec une seule cloison…C’est une résidence pour femmes…Alors…Moi – (…)…Sylvie – Si tu te représentes au bar…Et que tu reviens avec une autre résidente…Ce qui pourrait très bien arriver…Tu devras revenir à la chambre 66…Déguster un bref repas…Et durant leurs courtes absences…Tu feuillettes le livre sur le bureau…Puis tu récoltes l’argent…Le livre…C’est seulement pour t’allumer…Et te donner une bonne érection…
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